samedi 13 février 2010

Habitat social à Casablanca


« Casablanca continue en plus d’accueillir plus de 25.000 ménages par an et devrait prévoir un relogement de 98.000 habitants de bidonvilles »

Dans un contexte de forte demande, il peut paraître contre-productif d’aborder la question de la qualité. Et pourtant elle se pose aujourd’hui plus que jamais. L’habitat social affiche de nombreuses lacunes: absence d’effort d’innovation architectural et urbanistique, homogénéité des produits proposés, pas d’espaces communs réfléchis, etc. «Quand on pose le problème de la qualité des logements, il faut comprendre: qualité des espaces», explique l’architecte Abderrahim Kassou.

2 commentaires:

HADANI a dit…

Je crois que pour les logement économique il y a deux problème,le "noir", les gents payent des sommes en cachette soi au promoteur soi au personnel pour leurs laisser le bien, et la non rationalisation des ventes
faut comprendre que ce genre de logement est fait pour les gents qui ont pas les moyens, et non pas une occasion pour les riches d'acheter deux o trois... appartement, pour les loués o les revendre à un prix supérieur.

Unknown a dit…

C'est vrai , y a toujours ces gens là qui cherchent les occasions pour faire du business.

Sinon le cote qualite des logements economiques reflette sur la surface surtout quand y a une forte demande...donc les promoteurs immo s engagnet à faire plus dans un intervalle de temps pas tres approprie, sans parler de des matieres premieres...
Je me demande si la nomination "logement economiques" vienne du fait qu ils font une economie sur les matieres premieres, et qu ils emploient pas toutes les quantites necessaires...qui sait!^^